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Ce qu’on fait de nos peines 

de Baptiste Aubert

2014/couleur/ français/29 minutes

Réalisation, Images et montage: Baptiste Aubert

synopsis

Jusqu’à il n’y pas si longtemps, dans le village pentu d’Isérables, des hommes et des femmes, tournaient leurs champs à bras, en remontaient la terre et épandaient le fumier à la hotte devenue depuis, symbole d’un travail sisyphéen éternellement recommencé.  En 2014, certain-e-s habitant-e-s ayant abandonné les pratiques de la vie agricole montagnarde tentent de garder en mémoire une trace d’un passé qui semble leur échapper.

Construit autour de personnages emblématiques, le film se propose d’aborder les changements socio-économiques de la seconde moitié du XXe siècle survenus à Isérables et leurs conséquences sur la pratique de l’agriculture de subsistance. Parallèlement, les récits des différents personnages sont autant d’invitation à réfléchir sur l’idéalisation du passé et les enjeux des pratiques patrimoniales contemporaines.

TEASER

Projections et sélections

2016: Festival International du Film Ethnographique du Québec (FIFEQ)

2016: Festival de la Salamandre (Morges)

2015: Musée d’Isérables

medias

RTS: Emission Le Labo En pente raide du 05 février 2015 à ré-écouter 

Aubert Baptiste. 2017. “Valais et travail préindustriel : un jeu de représentations.” In Muriel Eschmann-Richon et Stéphanie Lugon (eds). En légende et en vérité : portraits de la collection de la Banque Cantonale du Valais, p 29 – 35 Sion: Banque cantonale du Valais 96 p.

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